Depuis une décennie, maintenant, les réseaux sociaux fleurissent sur le web comme les bourgeons printaniers trépignant d’impatience aux premières lueurs du soleil ! Pendant ce temps, les webmarketeurs se torturent l’esprit pour maîtriser l’image de leurs entreprises sur ces places publiques !
Pourquoi s’arrachent-ils les cheveux ?
Tout d’abord, et comme vous le savez, l’image de l’entreprise fait partie des facteurs fondamentaux qui jouent un rôle dans la réussite ou non, d’un projet. La maîtrise de celle-ci est donc primordiale si l’on souhaite voir ses ambitions atteintes (en d’autres termes, si l’on souhaite voir son portefeuille se trainer lourdement sous le poids de son ventre bien rempli !).
Cependant, depuis la recrudescence en matière d’innovation Web, accessibilité, échange, partage, … La tâche se révèle plus ardue. En effet, les utilisateurs de ces réseaux, ont tendance à partager naturellement les informations qu’ils jugent intéressantes. Qu’elles soient positives ou négatives (forcément !). L’objectif est donc de contrôler un maximum de ces publications pour éviter les commentaires négatifs qui pourraient ternir l’image de l’entreprise.
La solution c’est de créer et valoriser une communauté. Pour ce faire, les webmarketeurs possèdent plus d’un tour dans leur sac et au bout de quelques mois, vous pourrez constater de leur efficacité. La communauté se créera autour des valeurs que vous souhaitez véhiculer. Le travail du community manager sera de penser à des solutions pour entretenir la cohésion du groupe et continuer à lui proposer des sources d’émulations autour de vos produits.
A quoi sert une communauté ?
Il y a de nombreux intérêts à créer une communauté sur les réseaux sociaux. Le premier se trouve dans la communication. Par exemple, achèteriez vous plutôt un téléphone d’une certaine marque parce que vous avez vu la publicité à la télévision ou plutôt parce qu’un de vos proches vous en à fait les louanges ? Vous êtes d’accord avec moi, la méthode un peu plus intrusive est la plus efficace !
Alors maintenant, imaginez que la communauté que vous créerez se comporte comme plus haut, en véritable prescripteur de votre marque et cela sans énorme dépense pour une campagne publicitaire ! Le rêve n’est-ce pas ?
Mais ce n’est pas tout ! Pour les détaillants, c’est également une aubaine ! En effet, leur qualité propre ne leur permet pas de créer une réelle valeur ajoutée aux produits qui passent par eux. Pour se différencier ils doivent donc donner à leur entreprise une identité forte.
Prenons un exemple concret de création d’une communauté. Il existe beaucoup de façon d’y parvenir, ici je prendrais l’exemple d’un jeu concours.
1ère étape : Questionnement à propos de votre concours
En fonction de vos produits (saisonnalités des ventes, …) vous devrez choisir une date judicieuse. Par exemple, une boutique en ligne de déguisements choisira quelques semaines avant Noël. Et pour une boutique de vêtement, les périodes coreuses, hors soldes seront certainement à privilégier. Ensuite il vous faudra déterminer quel type de cncours sera le mieux adapté à votre but (fidéliser ? ou conquérir ?)
2ème étape : Pour qui ?
Si votre but est de renforcer votre communauté ou s’il est d’attirer de nouveaux venus, alors la forme en sera impactée ! Vous devrez vous tenir au courant des caractéristiques de votre cible pour faire de votre concours, une évidence pour eux !
3ème étape : Par quel moyen ?
Avec l’analyse de votre cible, il ne vous restera plus qu’à sélectionner votre moyen de diffusion. Le réseau qui correspond le mieux à votre cible (et surtout leur activité sur celui-ci).
Ensuite il faudra déterminer ce que vous offrez à l’issu du concours pour motiver vos futurs troupes, à vous rejoindre !
Finalement, si grâce au concours vous avez réussi à créer une communauté fidèle et que vous avez assez d’outils pour la « contrôler » alors vous vous assurez une bonne part du marché de votre secteur d’activité !
Pour conclure, contrôler son image, sa communauté, c’est tout simplement contrôler ses recettes ! (Oui oui, « recette » pour que ce soit du gâteau !)
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