Le tribunal de grande instance (TGI) de Paris a ordonné jeudi à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de tweets racistes ou antisémites.
Le réseau social américain avait été assigné par l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) après la diffusion de tweets antisémites. Malgré leur suppression, d’autres tweets racistes ont été postés par la suite.
Les associations demandaient les données permettant d’identifier les auteurs de tweets litigieux, afin de pouvoir les poursuivre devant les tribunaux.